Sport planétaire et universel, le football a également toujours représenté un enjeu de pouvoirs : économiques, diplomatiques, politiques, sociaux. Parfois les quatre à la fois. Le tout sous l’œil complice de la FIFA, estime Romain Molina. L’auteur réalise, dans The Beautiful Game, un tour du monde de ces pays où le ballon rond n’est pas que le business : du Guatemala au Népal, de Fidel Castro aux Khmers rouges en passant par le fils aîné de Saddam Hussein.
The Beautiful Game, foot, guerres et politique, de Romain Molina, Exuvie Editions, 248 pages, 18,00 euros.